potager

Publié le par émilie


nous avons un potager.

oh, c'est récent quelques mois à peine.

et ce ne sont que des essais !

mais bon, nous nous sommes régalés avec des haricots verts, de la frisée, avons brièvement comtenplés quelques radis (enfin, ceux qui ne nous avait pas été dévorés....), et avons tout dernièrement mangés quelques carottes... si bonnes, qu'on a même pas enlever la peau !!!

une photo ?


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alors, elles sont pas joulies tout plein, nos petites carottes ?!

c'est qu'on essaye de s'y tenir aux "5 fruits et légumes frais par jour", préconisés par le Programme National Nutrition Santé.... mais c'est pas fastoche, du tout !

vous avez vu les prix ? et les prix des produits laitiers qui vont augmentés ?!
ah, ça devient dur de tenir son budget....

comment ça,vous ne savez pas ce que c'est que le PNNS ?!!! vous n'avez pas la télé, la radio ?!!!
bon, je me dévoue :

un copier/coller trouvé sur le lien www.mangerbouger.fr/pnns/index.php

Neuf objectifs nutritionnels prioritaires en termes de santé publique
 
 
Augmenter la consommation de fruits et légumes afin de réduire le nombre de petits consommateurs* de fruits et légumes d'au moins 25 %.
     
Augmenter la consommation de calcium afin de réduire de 25 % la population des sujets ayant des apports calciques en dessous des apports nutritionnels conseillés**, tout en réduisant de 25 % la prévalence des déficiences en vitamine D.
     
Réduire la contribution moyenne des apports lipidiques totaux à moins de 35 % des apports énergétiques journaliers, avec une réduction d'un quart de la consommation des acides gras saturés au niveau de la moyenne de la population (moins de 35 % des apports totaux de graisses).
     
Augmenter la consommation de glucides afin qu’ils contribuent à plus de 50 % des apports énergétiques journaliers, en favorisant la consommation des aliments sources d’amidon, en réduisant de 25 % la consommation actuelle de sucres simples, et en augmentant de 50 % la consommation de fibres.
     
Réduire l’apport d'alcool chez ceux qui consomment des boissons alcoolisées. Cet apport ne devrait pas dépasser l’équivalent de 20 g d’alcool pur par jour (soit deux verres de vin de 10 cl ou deux bières de 25 cl ou 6 cl d’alcool fort). Cet objectif vise la population générale et se situe dans le contexte nutritionnel (contribution excessive à l'apport énergétique) ; il n'est pas orienté sur la population des sujets présentant un problème d'alcoolisme chronique, redevable d'une prise en charge spécifique.
     
  Réduire de 5 % la cholestérolémie moyenne dans la population des adultes.
     
  Réduire de 10 mm de mercure la pression artérielle systolique chez les adultes.
     
  Réduire de 20 % la prévalence du surpoids et de l'obésité (IMC>25 kg/m2) chez les adultes et interrompre l’augmentation, particulièrement élevée au cours des dernières années, de la prévalence de l’obésité chez les enfants.
     
Augmenter l'activité physique quotidienne par une amélioration de 25 % du pourcentage des sujets faisant l’équivalent d'au moins 1/2h de marche rapide par jour. La sédentarité étant un facteur de risque de maladies chroniques : elle doit être combattue chez l’enfant.
     
    * Un petit consommateur de fruits et légumes est défini comme consommant quotidiennement moins d’une portion et demi de fruits et moins de deux portions de légumes (pomme de terre exclue). Les données disponibles en France actuellement font état de 55 et 64 % de petits consommateurs de fruits chez les hommes et les femmes de 45-60 ans et de respectivement 72 et 64 % de petits consommateurs de légumes.

** On estime que 42 % des hommes et 59 % des femmes de 45-60 ans ont des apports en calcium inférieurs aux
ANC de 1992.
     
  Neuf objectifs nutritionnels spécifiques
  Réduire la carence en fer pendant la grossesse.
     
  Améliorer le statut en folates des femmes en âge de procréer, notamment en cas de désir de grossesse.
     
  Promouvoir l’allaitement maternel.
     
  Améliorer le statut en fer, en calcium et en vitamine D des enfants et des adolescents.
     
  Améliorer le statut en calcium et en vitamine D des personnes âgées.
     
  Prévenir, dépister, limiter la dénutrition des personnes âgées.
     
  Réduire la fréquence des déficiences vitaminiques et minérales et de la dénutrition parmi les populations en situation de précarité.
     
  Protéger les sujets suivant des régimes restrictifs contre les déficiences vitaminiques et minérales ; prendre en charge les problèmes nutritionnels des sujets présentant des troubles du comportement alimentaire.
     
  Prendre en compte les problèmes d’allergies alimentaires.
     
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Bon, vous avez vu, lu, compris, enregistré ? 
ben, c'est pas de la tarte, hein ?!!!!

Publié dans Emilie

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